La sante sexuelle,
parlons-en !
Édition 2024
Aborder les sujets liés à la sexualité sans jugement et permettre aux jeunes de s’exprimer et d’échanger sont le leitmotiv des interventions qui doivent être proposées.
Mais l’éducation à la vie affective et sexuelle reste encore un sujet tabou et sans doute l’un des plus difficiles à mettre en place.
Il est donc indispensable de former les professionnels afin d’avoir des informations actualisées sur les composantes de la santé sexuelle : une vision positive de la sexualité, des connaissances autour de la contraception, de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), Le VIH, les Infections Sexuellement Transmissibles (IST), les sexualités…
Données et chiffres clés 2023 sur la Contraception :
VIH, IST et Santé sexuelle - Intervention Hikombo Hitoto (CPVD CHM):
Découvrir le diaporama de l'intervention d'Anaïs Foussier :
Voir le glossaire (non exhaustif) LGBTQIA+ :
50 ans après les Lois Veil
programmation d'évènements sur octobre et novembre 2024
La sante sexuelle,
parlons-en !
Édition 2023
Aborder les sujets liés à la sexualité sans jugement et permettre aux jeunes de s’exprimer et d’échanger sont le leitmotiv des interventions qui doivent être proposées.
Mais l’éducation à la vie affective et sexuelle reste encore un sujet tabou et sans doute l’un des plus difficiles à mettre en place.
Il est donc indispensable de former les professionnels afin d’avoir des informations actualisées sur les composantes de la santé sexuelle : une vision positive de la sexualité, des connaissances autour de la contraception, de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), Le VIH, les Infections Sexuellement Transmissibles (IST), les sexualités…
Données et chiffres clés 2023 sur la Contraception :
VIH, IST et Santé sexuelle - Intervention Hikombo Hitoto (CPVD CHM):
Découvrir le diaporama de l'intervention de Sebastien Landry :
Voir le glossaire (non exhaustif) LGBTQIA+ :
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Programme de la journée
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L’enfant au cœur des violences : 2 jours pour comprendre et accompagner (24 et 27 novembre 2023 à Coulaines)
Il en va de même avec les violences conjugales. La vision erronée du « crime passionnel » a laissé place aux féminicides et au continuum des violences. Cette évolution majeure de la France contemporaine s’est accompagnée d’une réflexion sur la place de l’enfant dans le cadre des violences conjugales. L’ensemble des parties prenantes sur les questions de protection de l’enfance s’accordent pour affirmer qu’un enfant témoin de violences est co-victime. Pour mener une politique ambitieuse de protection de l’enfance, faire prévaloir son intérêt est nécessaire. L’agresseur ou la victime, il faut choisir qui l’on protège.
Ce premier jalon a été suivi de plusieurs textes, notamment la loi du 28 décembre 2019 visant à agir contre les violences au sein de la famille et celle du 30 juillet 2020 visant à protéger les victimes de violences conjugales. Elles ont notamment permis la suspension de plein droit de l’autorité parentale et des droits de visite et d’hébergement du parent poursuivi pour un crime envers l’autre parent. Elles ont également permis la possibilité (donc sans automaticité) de retrait de l’autorité parentale du parent condamné pour un délit commis sur son enfant ou sur l’autre parent.
Mais l’enfant n’était pas encore reconnu pleinement comme victime de violences conjugales. Suite aux dispositions introduites dans la loi du 24 janvier 2022 relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure, plusieurs articles du code pénal sont venus consacrer le statut de victime des enfants exposés aux violences conjugales en créant une infraction autonome. Ce qui signifie que les mêmes faits seront ainsi une infraction commise contre la mère et une infraction commise contre l’enfant.
Dans ce cadre, parentalité et conjugalité ne sont pas séparables. Une enquête de l’Observatoire national des violences faites aux femmes démontre que 77% des femmes victimes de violences appelant le 3919 ont des enfants. Dans « 98% des cas, les enfants sont témoins donc co-victimes des violences et dans plus d’un tiers des situations (36%), ils sont eux-mêmes maltraités », est-il également écrit. Une autre enquête montre quant à elle que près de 400 000 enfants vivent aujourd’hui dans un foyer où les violences conjugales sont légion. Là encore, la famille n’est pas un foyer sain, ni pour le parent violenté, ni pour l’enfant qui assiste, impuissant, à un déferlement de violences sur sa mère ou son père, ou qui est lui aussi victime de violences. Face à ce phénomène que nul ne peut plus ignorer, des progrès restent à accomplir.
Eden - Compagnie Alcyone
Écriture : Alice Sibbille
Conception, jeu et intervention : Lou Brouard, Malou Estenne et Alice Sibbille
"On était là, à se demander ce qu'on pouvait faire. On savait qu'il s'était passé quelque chose au lycée, mais on ne savait pas tout. Alors comme on allait pas rester les bras croisés à attendre qu'il réaparaisse, on a mené notre enquête."
Lecture-Intervention sur le genre et les transidentités.
Au travers d'une lecture théâtralisée, les spectateur·ice·s sont plongés dans l'histoire d'Eden, et ses réflexions sur son genre.
Durée : 30 minutes environ. (Durée en classe 2nde-1ère-Term: 1h)
Et suite au colloque...
Quelques photos :
1. Découvrir le diaporama de l'intervention d'Aline Tatone
(le matin)
2. Découvrir le "poster" proposé par A.Baleige, en cliquant sur le titre ci-dessous :
Découvrir le diaporama de l'intervention d'Anna Baleige
(1ère partie d'après-midi)
3. Découvrir le diaporama de l'intervention de Remi Rouziès
(2nde partie après-midi)
4. Découvrir 2 courts-métrages contre les LGBTphobies
(3ème partie et fin d'après-midi)
Ces deux cours-métrages ont été réalisés par les élèves de Seconde de l'Option Cinéma du Lycée Perseigne de Mamers. L'objectif des courts-métrages étaient de sensibiliser le public contre l'homophobie dans le milieu scolaire. Ce travail a pu être réalisé grâce au soutien de l'association Homogène et accompagné par la réalisatrice Céline Thiou. Bravo à elleux pour leur travail !
Vous voulez en savoir plus ?
le .pdf du programme de la journée
Une équipe réunie autour des cyberviolences et de la pornographie
de gauche a droite : Alice Sybille, Véronique Noël, Christophe Voisin, Léa Bages et Sébastien Vallée
le .pdf de l'intervention d'Anaïs Foussier et de Sébastien Landry
Vous n'étiez pas présent.e ? Vous souhaitez réecouter les interventions
Matin (capture faîte à Laval le 14 octobre 2022) :
Après-midi (capture faîte à Laval le 14 octobre 2022) :
La sante sexuelle, parlons-en !
Aborder les sujets liés à la sexualité sans jugement et permettre aux jeunes de s’exprimer et d’échanger sont le leitmotiv des interventions qui doivent être proposées.
Mais l’éducation à la vie affective et sexuelle reste encore un sujet tabou et sans doute l’un des plus difficiles à mettre en place.
Il est donc indispensable de former les professionnels afin d’avoir des informations actualisées sur les composantes de la santé sexuelle : une vision positive de la sexualité, des connaissances autour de la contraception, de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), Le VIH, les Infections Sexuellement Transmissibles (IST), les sexualités…
Depuis 2007, et en collaboration avec la ville du Mans et l’Etat, notre département a été pionnier dans la mise en place de dynamique de travail en réseau. Du Réseau Genre et Sexualité au Collectif ToutSEXplique72, une vingtaine de partenaires se sont fédérés pour impulser des actions.
Dans le cadre de nos missions, nous organisons des journées de sensibilisation. Ces journées visent à actualiser les connaissances, permettre aux professionnels·elles d’adapter leurs pratiques, de réfléchir aux représentations sur la sexualité, de favoriser la mise en place d’actions éducatives sur la vie affective et sexuelle auprès des usagers·ères, de permettre aux participants·tes d’échanger sur leurs expériences de terrain et de repérer les structures et outils ressources sur le territoire sarthois.
En 2020, le Collectif ToutSEXplique72 ! et certains de ces membres (CIJ Ville du Mans, Centre IVG du Mans, CPVD du Centre Hospitalier du Mans, Planning Familial 72), et en partenariat avec Sébastien Landry (Psycho-sexologue/Sexothérapeute), ont choisi de proposer une réponse commune en créant une formation – sensibilisation de 4 jours que nous avons intitulée :
La question de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap (physique, psychique ou en situation de déficiences intellectuelles) n’est pas une réalité nouvelle. Si depuis des années cette réalité a souvent été écartée des priorités aussi bien pour des questions de moyens que parce qu’elle évoque des interrogations profondes et dérangeantes, elle se trouve être aujourd’hui un champ de préoccupations de plus en plus important pour les dirigeant.e.s associatif.ive.s et les professionnel.le.s du secteur médico-social.
La raison est sans doute double. Entraînées par un contexte légal qui a profondément évolué avec les lois de 2002 et 2005, les associations se sont interrogées sur l’évolution de leurs projets institutionnels pour mettre toujours plus la personne porteuse de handicap en situation d’autonomie. A cette évolution, s’ajoute la volonté toujours plus importante des institutions et des professionnel.le.s de prendre en compte la qualité de vie des usager·ère.s.
Notre cycle de journées s’adresse prioritairement à toutes et tous les professionnel.le.s au contact d’adolescent.e.s et d’adultes dans des institutions du milieu du handicap mental, physique et psychique qui souhaitent mener des actions dans leur institution en éducation à la sexualité (Si des places restent disponibles, vous pouvez, bien sûr, vous inscrire même si vous ne travaillez pas dans le milieu du handicap).
Les objectifs des 4 journées sont de dissiper les idées fausses sur les thématiques de la santé sexuelle, et de permettre aux professionnel.le.s d’être en capacité d’aborder avec des usager·ères les relations affectives.
Pour nous, membres du Collectif Tout Sexplique 72 !, il est aussi important de pouvoir accompagner les professionnel.le.s afin qu’ils/elles puissent apporter une réelle éducation à la vie affective et sexuelle à l’intention des enfants et adolescent.e.s en situation de handicap, en prenant en compte leurs questionnements spécifiques.
Les quatre jours de sensibilisation auront lieu les 30 novembre, 01er décembre et 10-11 décembre 2020.
Vous trouverez ci-joint une plaquette de présentation de ces 4 journées qui auront lieu dans les locaux de la DTARS72 – 19 Boulevard Paixhans – Salle F0-01.
Merci à vous de pouvoir relayer cette information à vos partenaires. Restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
Cycle de formation : Prévention des conduites à risques : Santé sexuelle & Addiction
Depuis plusieurs années, nous constatons que de nombreux professionnels qui accompagnent les adolescents et les jeunes adultes s'interrogent sur leur légitimité à aborder dans leur activité professionnelle les questions de sexualité et les consommations de certains produits. Ces deux aspects peuvent pourtant être à l'origine de prises de risques pour la santé.
Dans le cadre du collectif toutSEXplique72!, Le Planning Familial 72,le CPVD du Centre Hospitalier du Mans et les CSAPA Montjoie et Molière ont construit une formation afin de permettre aux professionnels de se sentir plus à l'aise avec ces thématiques et de trouver les moyens d’aborder des sujets réputés tabous, intimes ou privés.
