Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?

Des concerts et des fanzines dans la chaleur moite du Lézard pour dire que les femmes mouillent leur maillot (et pas que) pour vous herisser les poils dans tous les sens du terme.

Nous accueillerons 'My Dog's A Bear' et 'Foune Curry', deux groupes féminins de Paris qui naviguent entre le punk et la no wave, une ambiance sonore sauvage, parfaite pour consulter et acquérir à prix libre les fanzines de ce collectif féministe manceaux.

La lecture plonge les spectateur.ice.s dans un récit où sont livrées les pensées d'Amy à son entrée au lycée, à l'approche de la "Première soirée" et d'une relation avec un jeune homme, Brian . Elle soulève les questions que l'adolescente se pose dans son rapport au corps, aux autres, à sa "première fois", aux nudes (photos dénudées} et à la problématique du harcèlement sexuel. Aidée par une amie à surmonter une situation de harcèlement sexuel, la lecture propose une issue positive mettant en avant la parole et la solidarité comme rempart à l'isolement.

C’est pour libérer les corps noirs et féminins des fantasmes les plus éhontés et des discriminations qui les sous-tendent que l’outrée Rébecca CHAILLON a conçu cette «carte blanche», formule fréquemment utilisée pour désigner le pouvoir illimité donné à quelqu’un d’agir à sa guise, mais plutôt « noire » en l’occurrence, puisqu’exclusivement réservée à des afro-descendantes.

Cette lecture en musique illustre des textes recueillis par Yaël Catherinet-Buk aux éditions Regard et voir.

C’est un voyage-hommage au féminin présent en chacun de nous. 
Quatre voix de femmes s’élèvent : la Jeune fille, la Femme, la Grand-mère et l’Intemporelle, Femme du Temps. Chacune livre ses pensées, ses doutes, ses sensations. L’Homme, placé au centre de la scène, accompagne ce voyage au cœur du féminin. Les cordes vocales vibrent au rythme des cordes électriques pour donner vie, respiration et rythme aux mots.

Avec Margot Châron (voix) et Albert Rose (guitare électrique)

Comme tant d’autres femmes, Édith, Michèle, Éveline et Fabienne ont été placées en maison de correction à l’adolescence.  Aujourd’hui, portée par une incroyable force de vie, chacune raconte son histoire et révèle le sort bouleversant réservé à ces « mauvaises filles » jusqu’à la fin des années 1970 en France.

C’est une femme en prise avec tous les signes de la misogynie ordinaire. Elle passe en revue les attaques, insultes et sous-entendus des hommes qui l’entourent. Son père, son compagnon, le buraliste ou le patron, le médecin ou le passant. Signes flagrants ou invisibles d’un monde phallocrate, une société d’hommes qu’elle refuse d’affronter.

Être une femme. Avec les rêves que l’on avait petite fille. Avec les rêves que l’on a pour nos filles. Inspiré d’entretiens avec des femmes de 18 à 92 ans, ce spectacle établit à travers quatre monologues un état des lieux de la condition, des désirs et de l’évolution des femmes durant ces quatre-vingts dernières années.

Une action d’information et de sensibilisation sur les "tabous du corps" : menstruation, contraception, douleurs, précarité menstruelle, sexualité et consentement… Organisée par le Centre de santé universitaire et la Mission Égalité, avec la participation de la Ligue contre le Cancer de la Sarthe, les étudiant.e.s Relais Santé et des élèves en service sanitaire.

Deux femmes sur scène. Auto-fiction, leur récit, basé sur leur histoire, est celui de deux femmes issues d’un milieu populaire devenues artistes, et qui décident d’écrire pour se réinventer. Sortie de route mêle allègrement autobiographie et fiction échevelée. Le duo entend non seulement se raconter, mais aussi, et surtout, questionner sa place, en général face à l’ordre social établi, et en particulier dans son métier d’artiste.

Marion Plumet, artiste plasticienne et militante féministe, déploie ses collages sur nos murs. Participez à cette exposition en apportant votre aide au collage en passant, pendant quelques minutes…

Lundi 20 mars :

- 10h à la BU du Mans puis autres lieux du campus jusqu'au 7 avril.
- de 17h à 18h30, Table ronde « Collages féministes dans l’espace public : action militante, subversive, artistique… ? » à la BU du Mans (salle Pierre Belon)
Invité∙es : Marion Plumet, Collectif Collages féminicides (sous réserve), Isabelle Denby,  étudiante du Master Études sur le genre.

Mardi 21 mars :

- 11h et 13h30 - 2 sessions à la BU du Mans (salle SIP et extérieur) : Ateliers de collage. Venez compléter l’œuvre « Nos femmes » par vos propres réalisations lors d'un atelier de collage.
- de 15h30 à 17h à la BU du Mans (pelouse ou salle Actualités) Jardin sonore : lectures des textes de Marion Plumet par la Cie Transtopie
- 17h15 à la BU du Mans (pelouse) : Vernissage de l'exposition

L’endométriose est une maladie gynécologique inflammatoire et chronique fréquente qui touche près de 10 % des femmes. Témoignages et interventions de professionnel.les de santé dans le cadre de la journée mondiale contre l'endométriose (28 mars).

Le Collectif d'éducation à la citoyenneté et à la diversité, coordonné par la Ligue de l'enseignement - FAL 72, vous présente le programme des Semaines d'éducation contre les discriminations 2023.

Ce programme est également disponible sur notre site internet avec des infos complémentaires (affiche, info sur le Forum Laïcité/Diversité, outils pédagogiques etc.) au lien suivant :

https://fal72.org/laligue72/semaines-deducation-contre-les-discriminations-2023/

Expositions, soirées débats, spectacles, films, formations etc. Pendant un mois, et plus encore, s'ouvrent des espaces pour réfléchir à ce qui nous sépare et nous éloigne mais surtout à ce que nous pouvons faire individuellement et collectivement pour construire une société plus juste et plus solidaire.